Le FEC fête ses 100 ans

14h30 - Cour du FEC –
- Accueil en musique

15h00 - 17 h 15- Salle Léon XIII

Discours d’ouverture

Inauguration de l’exposition :

Présentation du livre « Le FEC. S’engager pour unir les Hommes »

"Cour du FEC – Lancement des travaux de restauration du patrimoine"

17h30
- Concert

19h00 - Cour du FEC et Resto U
- OctoberFEC

17 place Saint-Etienne
67000 Strasbourg

Tél. (33) 03 88 35 36 20

Le centenaire sera aussi l’occasion de lancer la restauration de la tourelle et du porche classés monument historique.

14h30
- Cour du FEC – Accueil en musique
15h00
- Salle Léon XIII –

Discours d’ouverture

Jean-Luc HIEBEL, président

Étienne TROESTLER, directeur

Inauguration de l’exposition :

Philippe FLECK et Robert STAHL

15h45

Salle Léon XIII –

Présentation du livre

« Le FEC. S’engager pour unir les Hommes »

Étienne TROESTLER,

Nicolas KEMPF – Rédacteur ,

Anthony KINNÉ (Dédikace) – Graphiste,

Samuel BUQUET – Bédéiste

16h30
- Cour du FEC – Lancement des travaux de restauration du patrimoine
  - Discours de Bertrand FLECK
17h30
- Eglise du Collège Saint-Étienne
- Concert
  - Chapelle romane de Saint-Étienne avec création mondiale pour orgue, percussion et cuivre
19h00

Cour du FEC et Resto U

OctoberFEC

Les discours dans la salle Jean XXIII

Réservé discours

Édition pour le Centenaire

Savez-vous quel établissement unique en son genre a été fondé il y a 100 ans au centre-ville de Strasbourg… ?
Réponse : le FEC, bien sûr ! Le Foyer de l’Étudiant Catholique.

Le n°17 place Saint-Étienne a connu mille vies : ancien hôtel particulier de la Renaissance, siège de la Noblesse de Basse-Alsace, échoppes, bistrots, salles d’associations en tous genres…jusqu’à ce qu’un beau jour de 1925, un frère de Matzenheim, Frère Médard, y ouvre son foyer d’étudiants.
Plus qu’une résidence étudiante, plus qu’un « resto U », le FEC s’est toujours voulu un laboratoire des idées, un lieu d’action sociale, de combat culturel et de formation humaine. Il est, surtout, le point de rencontre de personnes, de personnalités, des milliers d’étudiants qui y ont grandi au fil des années.
Ce livre raconte, en photos, en dessins, en récit et en témoignages, cette riche histoire humaine, faite de grands événements et de petites anecdotes.
Un ouvrage pour les « fécards » d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

Concert à la chapelle du Collège Saint-Étienne, avec Pascal Reber, orgues et Manuel Mendoza à la Direction

Le concert dans la chapelle du Collège Saint Etienne

_copie-0_Affiche_concert_BAT-A5-2000expl2-1086x1536.jpg

1ère partie : Ensemble instrumental
- Oeuvres de Bach / Piazolla / Burbano
2ème partie : Orgue
- Triptyque à Frère Médard
  - Combat spirituel / Intériorité / Action de grâce
  - Composé par Pascal REBER
  - Ces 3 parties illustrent chacune un trait de caractère de la personnalité de Frère Médard. Trois éléments thématiquent servent le fil conducteur à cette pièce : le nom de Frère Médard avec des notes altérées, un choral en deux phrases (thème personnel), un élément rythmique évoquant le combat et se trouvant uniquement dans le premier volet.
3ème partie : Orgue et ensemble instrumental
- Sonata Sacra
  - Expectamus / Edificamus / Eaux éternelles
  - Pascal REBER

Musiciens

Trompette : Godefroy FREY, Corentin SOULARD
Cor : Ali GONZALEZ
Trombone : Laurent MONTAUDOIN
Tuba : Gael VANPEPERSTRAETE
Percussions :

Remerciements :

Collège Saint Etienne, Mrs GILLET et STENGEL
Conservatoire de Musique de Strasbourg pour la mise à disposition des instruments
Musiciens :
- Pascal REBER (à l'orgue)
- Manuel MENDOZA (chef d'orchestre)

Le 25 septembre 1944, les bombes alliées tombent sur Strasbourg, et l’une d’entre elles pulvérise la nef de Saint-Étienne. La survie du chœur est providentielle et il peut être sauvé. Mais ce qu’il restait d’ancien dans la nef et la façade, au demeurant bien réduit, est démonté.
L’architecte en chef des monuments historiques, Bertrand Monnet, et l’architecte des bâtiments de France du Bas-Rhin, Fernand Guri, prennent alors un parti audacieux. La reconstruction à l’identique des parties détruites ne présente guère d’intérêt : il s’agissait encore de la salle de spectacle du XIXe siècle.
Une reconstitution de la nef du XIIe siècle aurait été hypothétique sur bien des points et très coûteuse. Et les pastiches ne sont plus d’actualité.
Ils proposent dès lors une nef résolument contemporaine, portée par des portiques en béton armé laissés visibles, et de vastes surfaces de vitraux abstraits de Jacques Le Chevallier.
Mais ils respectent les volumes anciens, réutilisent les tuiles traditionnelles et parent l’extérieur de grès rose, provenant pour partie de l’édifice précédent.
Il n’est jusqu’aux petites ouvertures en façades, qui ne reprennent des motifs issus du chevet ancien.
Les deux architectes ajoutent enfin une tribune occidentale pour l’orgue (qui ne sera occupée qu’en 2016) et créent une crypte, devenue auditorium et petit musée.