Journées de l'Architecture 2024
2/4
Week-end de fête à la Manufacture
-
Avec ; Eric HARTWEG, SERS
-
Damien MEHL, ville de Strasbourg
-
Julien LECLERQC, Vurpas Architectes
-
Antoine OZIOL, Atelier Oziol - De Micheli
Kooma + Karmen Camina
Maitrise d'Ouvrage : SERS
-
Début 2022 : démarrage des travaux
-
Octobre 2023 : 1ère réception
-
Novembre 2023 : 1ère ouverture au public (Brasserie, pub, épicerie)
-
Mai 2024 : 2ème réception et ouverture au public (salles évémentielle
-
Novembre 2024 : dernière réception et ouverture à venir
ENGEES + EOST + ICUBE
Maitrise d'Ouvrage : Université de Strasbourg
-
2020 : démarrage des travaux
-
Février 2023 : livraison et ouverture au public
Haute Ecole des Arts du Rhin - HEAR
Maitrise d'Ouvrage : Ville de Strasbourg
-
2022 : démarrage des travaux
-
Septembre 2024 : livraison et ouverture au public
Table ronde - Genèse et présentation du projet de la Manufacture des tabacs avec les maîtres d’ouvrage et les architectes
Semia + Quest for change
Maitrise d'Ouvrage : SERS
-
Eté 2021 : démarrage des travaux
-
Décembre 2022 : réception des travaux
-
Janvier 2023 : ouverture au public
The People Hostel
+ Digital Village + Studio Lab'ut
Maitrise d'Ouvrage : SERS
-
Hiver 2018 : démarrage des travaux
-
Décembre 2020 : réception des premiers travaux
-
Mai 2021 : ouverture au public de The People Hostel
-
2023 : ouverture du Digital Village
-
2024 : ouverture au public de Studio Lab'ut
Les aménagements extérieurs
Maitrise d'Ouvrage : SERS + Université de Strasbourg
+ Eurométropole et Ville de Strasbourg
-
2018 : démarrage des travaux
-
Automne 2024 : fin des travaux (livraisons progressives au fil des ouvertures des bâtiments)
OPPORTUNITE FONCIERE, OBJECTIFS
MONTAGE
Damien Mehl
Ville de Strasbourg
MISE EN VALEUR PATRIMONIALE
VEGETALE
REALISER UN PROJET AVEC L'EXISTANT
Antoine Oziol
Atelier Oziol - De Michelli
Traitement des îlots de chaleur
PORTAGE DU PROJET
APPEL A MANIFESTATION D'INTERET,
COHERENCE DU PROJET
Eric Hartweg
SERS
ENGEES EOST ICUBE
Julien Leclercq
VURPAS ARCHITECTES
HEAR
Atelier Philippe Prost
.jpg)
PÔLE INNOVATION et ACCOMPAGNEMENT
LAMA Architectes
KOOMA
KARMEN CAMINA
La Générale - Assemblée d'architectes
Lundi au vendredi : 8 h à 12h et 13 h et à 16 h
Samedi : 8 h à 18 h
-
Exposition « En scène - Les compagnons » :
-
sur un chantier de construction, les équipes des différents corps de métier se succèdent, apportant leur savoir-faire à la réalisation de l’édifice.
-
Des fondations aux finitions, les compagnons œuvrent le plus souvent en silence.
-
Dans leurs mouvements, leurs efforts denses et répétés, les hommes se révèlent.
-
Telle une mise en scène, les photographies mettent en lumière le travail d’équipe, le respect mutuel, l’écoute
-
-
-
Projection « En scène » :
-
ce film ne se veut pas reportage, mais davantage le reflet humain, esthétique et poétique du chantier.
-
Avec ; Catherine Dressayre, photographe auteur,
Benoit Angheben, Prévôt du Centre de Formation de Strasbourg
-
Avec le plan pour un nouveau bâtiment pour le centre de la police fluviale franco-allemande, situé à l’entrée du bassin du port du Rhin, une réalisation significative est proposée.
-
La forme brute et l’organisation du plan découlent des exigences fonctionnelles et du terrain, en surélevant le lieu.
-
La forme du bâtiment ainsi développée correspond au niveau de la fonctionnalité et de son expression à l’importance de la police fluviale franco-allemande sur le Rhin.
-
La création uniforme et répétitive du cœur du bâtiment est marquée par le caractère de l’architecture de la construction navale.
-
Avec ; Peter W. Schmidt, Dipl. Ing. Architecte, Frank Spallinger, architecte
-
Les travaux pour la construction d'un nouveau poste de police de l'eau franco-allemand ont commencé à Kehl.
-
Le partenariat franco-allemand en matière de sécurité franchit ainsi une nouvelle étape.
-
Le Land investit environ 7,1 millions d'euros dans le nouveau bâtiment.
-
Un nouveau bâtiment a été construit à Kehl pour la police de l'eau franco-allemande dans la région du Rhin supérieur.
-
Les travaux de construction ont commencé (mai 2022)
-
La nouvelle construction se compose d'un bâtiment principal de deux étages et d'ouvrages spéciaux tels qu'un hangar à bateaux, un embarcadère et une station d'essence pour bateaux.
-
Le rez-de-chaussée du bâtiment principal à haute efficacité énergétique sera construit en dur pour des raisons de protection contre les inondations, selon un communiqué du ministère des finances du Bade-Wurtemberg.
-
Pour l'étage supérieur, le bois sera utilisé comme matériau de construction essentiel.
-
Le chauffage et l'approvisionnement en eau chaude sont assurés par des pompes à chaleur fonctionnant dans le respect du climat. Celles-ci sont alimentées par une part importante d'électricité solaire provenant d'une installation photovoltaïque d'environ 320 mètres carrés.
-
Fin des travaux printemps 2024.
Le projet de construction du nouveau poste de police des eaux franco-allemand à l'entrée du bassin portuaire dans le Rhin propose un bâtiment significatif. La grande forme et la disposition en plan découlent des exigences fonctionnelles et du découpage du terrain, elles surélèvent en quelque sorte le site.
Lauréat en 2018
Bâtiment de police
et hangar à bateaux
-
Maître d'ouvrage
Patrimoine et construction
du Bade -Wurtemberg
-
Direction du projet
Frank Spallinger
(planification de l'exécution)
Kim Jasper Neugebauer (planification de la conception)
-
Partenaires
Statik groupe d'ingénieurs BAUEN
56 personnes travailleront ici à partir de novembre 2024
Avec ; Colin Guy-Pierre, architecte
La reconstruction en bois du siège sur son site historique fait l'objet d'un véritable projet de transformation de l'entreprise en interne, visant une intégration la plus large possible : à la fois siège régional du Crédit Agricole Alsace-Vosges, mais également auditorium ouvert sur le quartier, bureaux en location, espaces de co-working, agence bancaire,...
Conférence - table ronde autour de la thématique de la multi-certification croisée : cohérence entre les certifications, adaptation des certifications à différentes échelles de projet.
-
Depuis août 2022, le siège social du Crédit Agricole Alsace Vosges est en travaux. Le bâtiment ne correspondait plus ni aux nouveaux modes de travail, ni aux exigences réglementaires énergétiques.
-
Ce projet s’inscrit dans une démarche globale écoresponsable, depuis la conception du site jusqu’à son exploitation future, ainsi que durant les phases de déconstruction et de reconstruction (chantier faibles nuisances, gestion des déchets, respect du voisinage…).
-
Après dix-huit mois de déconstruction vertueuse réalisée par Lingenheld Groupe Travaux Spéciaux en liaison avec Crédit Agricole Immobilier, maître d’ouvrage délégué pour le compte du Crédit Agricole Alsace Vosges, l’heure est au premier bilan, en quelques chiffres :
-
19 200 tonnes de matériaux ont été déconstruits
-
99,1 % ont trouvé une seconde vie au travers du recyclage ou du réemploi
-
96,87 % de matériaux traités en recyclage (béton, bois, métaux, plâtre…)
-
2,23 % des matériaux et mobiliers destinés à être réemployés (briques, tuiles, boiseries, marbre, dalles, sanitaires, bureaux, tables, chaises, armoires…) vs 1% en moyenne pour les chantiers actuels.
-
-
Une équipe de 13 personnes en moyenne a été employée sur toute la durée du chantier, dont une dans le cadre du dispositif « insertion des personnes éloignées de l’emploi ».
-
Des moyens techniques conséquents et adaptés ont été mis en œuvre : 3 pelleteuses mécaniques de 30 à 100 tonnes, 2 robots de déconstruction fine, 1 grue automotrice de 60 tonnes…
-
En tant que maître d’ouvrage délégué, Crédit Agricole Immobilier a participé aux différentes étapes de déconstruction : vigilance portée sur l’importance du réemploi, participation aux appels d’offre d’entreprises et suivi constant des travaux.
-
A présent (printemps 2024) , le chantier va entrer dans une nouvelle phase : la reconstruction, orchestrée par Demathieu-Bard Construction, d’un nouveau site de 13 000 m² accueillant le nouveau siège du Crédit Agricole Alsace Vosges (sur 8 000 m²) et une nouvelle offre locative tertiaire (sur 5 000 m²).
-
Le nouveau bâtiment, fonctionnel et modulable, s’intégrera pleinement à son environnement urbain et répondra aux meilleurs standards environnementaux, via notamment une triple labellisation écologique et énergétique :
-
Passivhaus construction neuve – niveau classique
-
BBCA (Bâtiment Bas Carbone) – niveau performance
-
BRE Environmental Assessment Method (BREEAM New Construction) – niveau excellent
-
Il répond également à l’appel à projet pour Construction et rénovation de bâtiments exemplaires passifs lancé par Climaxion.
-
Livraison prévue en mai 2026
-
Visite des chantiers au sud du quartier Citadelle et des plateformes de traitement des sols pollués au nord du quartier.
-
Au programme de cette visite, découverte comment les terres contaminées par le passé industriel du quartier sont traitées pour être réutilisées dans le cadre de l'aménagement du projet urbain Deux-Rives / Zwei-Ufer.
Avec
-
Benjamin Pellegrin, chef de projet communication et médiation SPL Deux-Rives,
-
Thibaud Blonde, chef de secteur chez Ortec,
-
Gaetan Oury, chargé d'affaires chez Ortec,
-
Etienne Heissat, chef de projet chez Archimed Environnement
-
En 2016, la SPL Deux-Rives Strasbourg a mandaté le groupement d’entreprises Archimed Envrionnement / Sol Paysage / Groupe Géotec pour développer, mettre en oeuvre et suivre une démarche à la fois globale et transversale sur la question des sols et sous-sols de la ZAC.
-
Aujourd’hui en phase travaux, ce chantier se veut innovant de par l’utilisation du fluvial pour le transport des matériaux ainsi que par sa vision globale de la gestion des matériaux par le biais du triptyque agronomique, géotechnique et sanitaire pour dépasser la « traditionnelle » gestion des matériaux qui consiste à décaisser et évacuer hors site des déblais pour les remplacer par des matériaux naturels d’apport achetés, pour la création des aménagements publics.
-
Ce projet a notamment pour objectif de limiter son impact environnemental, une valeur également importante pour Géotec.
-
La ZAC des Deux Rives représente un territoire à reconvertir de 74 ha dont 30 ha seront consacrés aux espaces publics.
La Désorption thermique consiste à appliquer de la chaleur pour extraire par volatilisation les polluants volatils et semi-volatils des sols excavés.
Par la nature même du projet urbain des Deux-Rives, la thématique du traitement des sols est primordiale. En effet, pour éviter l’étalement urbain, le projet se déploie sur d’anciennes friches industrialo-portuaires.
La question de l’état et de la pollution des sols, et de leur traitement pour qu’ils soient compatibles avec leur usage futur, est au centre des réflexions de l’aménageur. La mise en état sanitaire est une obligation légale et contrôlée, à laquelle la SPL Deux Rives a souhaité donner une ambition écologique inédite.
Ainsi, depuis 2019, la SPL Deux-Rives, en lien avec le bureau d’études des sols Archimed Environnement associé à Sol Paysage et Géotec, pilote le processus de traitement des sols en cherchant à minimiser son impact environnemental.
Une analyse fructueuse des sols…
-
Les terres des 4 quartiers nécessitent un traitement particulier : polluées ponctuellement en surface par des résidus d’hydrocarbures et de charbon dus aux activités industrielles passées, elles doivent être rendues compatibles avec leurs futurs usages (logements, bureaux, équipements publics, …).
-
Mais ce n’est pas tout ! les quelques 500 sondages et 1 000 analyses réalisés sur tout le territoire, qui se déploie du Parc de la Citadelle aux berges du Rhin, ont permis de découvrir une ressource inespérée. 2 à 3 mètres sous la surface, l’étude minutieuse des sols a révélé des terres saines (non-polluées), mais stériles car trop longtemps privées de végétation, d’air et de la lumière nécessaires au développement de leur vie microbienne. En complément, des résidus d’anciennes infrastructures et de remblais (mélange de sable et de gravier) se trouvaient mélangés aux terres du site, gênant leur utilisation.
-
Une réflexion globale, à l’échelle du territoire, a permis d’asseoir la faisabilité de l’extraction des terres pour les traiter et les valoriser (la profondeur maximale de l’excavation s’arrêtant au-dessus de la nappe phréatique, entre 3 et 6 m selon les quartiers).
-
Le dispositif établi permet de traiter, fertiliser et concasser sur site, 266 000 m3 de terres en vue de les réemployer sur place.
-
Cela permet de rendre les sols sains et fertiles pour construire les bâtiments et planter les espaces paysagers du quartier, le tout sans aller ponctionner la campagne de ses terres saines et de les transporter en camions jusqu’au projet, comme c’est encore trop souvent le cas dans les projets urbains.
-
Ainsi, pour 266 000 m3 de terres recyclées in situ, à raison d’environ 10m3 de terres par camion, ce sont 26 000 camions benne qui n’auront pas à circuler dans la plaine d’Alsace !
-
L’excavation des terres à traiter. © SPL Deux-Rives
-
Le transport des terres à traiter vers les plateformes s’effectue en péniches.
-
Entre les terres polluées, les terres saines mais stériles, et les matériaux issus des activités humaines -tels que les restes de béton ou gravier, appelés matériaux anthropiques -, les terres analysées et triées font l’objet de traitements différenciés.
-
Pour cela, 3 plateformes ont été installées sur 2 des 4 quartiers concernés par la réhabilitation des sols : Citadelle et Starlette, de part et d’autre du Bassin Vauban. Si de tels chantiers existent déjà ailleurs, c’est la première fois en France que cohabitent trois techniques de valorisation des sols sur le même territoire, à savoir :
-
la mise en conformité sanitaire (qui se décline en deux méthodes),
-
le traitement agronomique et
-
le traitement géotechnique.
-
-
Si une telle installation est possible, c’est grâce à un territoire d’action de 74 ha et au temps dont dispose la SPL Deux-Rives pour mener à bien cette exigeante démarche.
-
On parle de valorisation et non de dépollution car les terres sont traitées de différente manière et que le but final est le réemploi sur site.
-
Les terres polluées adaptées à leur usage futur
-
Les moyens déployés pour traiter les terres polluées sont conséquents et adaptés aux types de pollution révélés par la phase de sondages. La mise en conformité sanitaire concerne 92 000 m3 de terres, dont 45 000 m3 ont déjà été traités, et s’effectue principalement sur Citadelle.
-
Pour partie acheminées par péniches, les terres sont disposées en piles et recouvertes d’une couche de béton hermétique pour être dépolluées par désorption thermique. Ce procédé dure environ 3 mois et consiste à volatiliser les polluants (hydrocarbures principalement) contenus dans la terre en la faisant chauffer à 300°C. Tout se passe dans des tubes percés traversant les piles de terres dans toute leur largeur (chaque pile contient environ 1 500 m3 de terre soit 3 000 tonnes.
-
À l’entrée des tubes, des brûleurs alimentés au gaz de ville chauffent la terre, le gaz produit par cette combustion est ensuite récupéré et rebrûlé, jusqu’à la combustion complète des polluants. C’est le processus dit du reburn (re-combustion), une technique rarement mise en œuvre, alors qu’elle est pourtant moins énergivore et qu’elle permet d’éviter l’utilisation de filtres à charbon actif (qui ne servent ainsi que comme sécurité supplémentaire, en complément du dispositif de reburn). L’innocuité (c’est-à-dire la nuisibilité) des éléments relâchés dans l’air – de la vapeur d’eau et du CO2 issus de la désorption – est contrôlée à chaque instant.
-
Par ailleurs, la démarche de mise en état sanitaire des sols met en œuvre une autre technique innovante : la stabilisation. Cette technique est déployée au nord du quartier Starlette et concerne des terres touchées par une typologie spécifique de pollution.
-
Un additif breveté est mélangé aux terres afin de briser les molécules polluantes et de les piéger. Le processus de stabilisation permet la formation d’un « sarcophage à échelle moléculaire », évitant l’évaporation et l’infiltration des polluants.
Localisation des plateformes de mise en état sanitaire :
-
En rouge, la mise en conformité sanitaire;
-
en vert, le traitement agronomique; en bleu, le traitement géotechnique.
-
Par principe de précaution, les terres dépolluées issues de la mise en état sanitaire – par désorption comme par stabilisation – servent exclusivement de remblais généraux et de base pour la construction de voiries et non de bâtiments « sensibles » (logements, écoles), quand bien même les analyses et les contrôles pour s’assurer de leur innocuité sont systématiques.
Avec ;
-
Thalie Marx, Eurométropole de Strasbourg,
-
Eric Dibling, bureau d'études Ingénéco Technologies,
-
Victoire Guigues, SPL Deux Rives
Le quartier bas carbone « Citadelle » comptera dès 2030, 900 logements et un groupe scolaire. Découvrez les résultats de l’étude menée par Ingénéco Technologies, qui a travaillé à définir des bouquets de systèmes constructifs conformes aux techniques courantes dans toute la rigueur que cette notion implique, en permettant de mobiliser un savoir-faire local accessible aux TPE/PME et tout en respectant une bonne soutenabilité économique. Généraliser ces modes constructifs permettra de valoriser les travaux en reconnaissances techniques et règlementaires et de graduer les stratégies de progrès.
Démonstrateur de Ville durable
Citadelle pour un chantier
bas carbone reproductible
Etude sur l'intégration de solutions constructives bois
Le projet urbain
Du grand projet Deux-Rives aux 4 quartiers
L'étude :
Intégration de solutions constructives bois - biosourcées et pour la mise en oeuvre d'innovations techniques dans les opérations immobilières du quartier bas-carbone.
Préambule sur les enjeux de la massification
La massification bas carbone repose donc :
-
Sur la compréhension de ce sur quoi les équilibres ont été tacitement construits dans le temps long (bunker pas trop chers et à forte émission de CO2)
-
Sur une bonne veille vis à vis des signaux faibles précurseurs de la sinistralité de demain (avec causalité endogène et exogène) et des risques de correction induits ...
Préambule sur les enjeux de la massification
Eric DIBLING
Le concept d'acceptablilité sociale de la fiabilité et du risque ...
... et sa composante implicite (et donc non explicite)
Citadelle : prémices d'un quartier bas carbone
-
reconversion d'un site industriel
-
création de nouveaux espaces publics et ré-emploi de matériaux
-
raccordement au Réseau de Chaleur
-
la mobilité dans le quartier
-
une ambition de construction en bois
3 axes du démonstrateur de ville durable
-
Assurer la transition des modes et filères de construction (innovations organisationneles, expérimentations sur biosourcés, ré-emploi, ...) et énergie.
-
Développer les potentiels de la ressource en eau (logistique fluviale, rafraîchissement, infiltration et éutilisation eaux de pluie, eaux grises).
-
Anticiper et accompagner les pratiques écologiques de l'ensemble des acteurs.
Définition des 3 morphotypes
et répartition sur le programme
-
Morphotype 1 :
-
Bâtiment d'habitation collective en R+2 relevant de la 2ème famille avec une hauteur de plancher bas du dernier niveau à moins de 8 m (plancher de duplex compris dans cette hauteur limite)
-
-
Morphotype 2 :
-
Bâtiment d'habitation collective entre R+4 et R+6 relevant de la 3ème famille
-
-
Morphotype 3 :
-
ERP du 1er groupe en R+2 avec le respect des "dispositions" qui "ont pour but d'empêcher la propagation du feu par les façades" données par l'article CO19
-
Objet des missions
-
Définir les systèmes constructifs en fonction du cahier des charges urbain (forme, aspect, occupation, ...) avec un objectif de bilan carbone le plus bas possible dans une économie de projet viable, en lien avec le développement d'une offre développée par les filières locales, et avec une maîtrise des sujets d'innovation portés.
-
Couvre l'emploi de matériaux biosourcés (pour les filières suivantes : bois, paille, chanvre), de matériaux issus du rémploi et possiblement des procédés utilisant du graphène.
-
Nos missions se décomposent en plusieurs missions dont :
-
une première mission visant à définir des bouquets de système constructifs les plus accessibles selon différentes configurations de bâtiment, reconnus de façon stable et stabilisée en technique courante au moment de la réalisation de l'étude ;
-
une seconde mission visant à définir les sujets d'innovation portés dans le cadre du démonsrateur ville durable et la méthotologie de mise en oeuvre des sujets d'innovation.
-
Un quartier bas carbone pour la ville de demain
-
1,2 M € d'investissement
-
dont phase d'incubation 480.000 € par France 2030 sur 36 mois.
-
Projet sur 10 ans en 2 phases :
-
Phase d'incubation :
-
36 mois, une dizaine de missions d'ingénieurie
-
-
Phase de réalisation :
-
Financement basé sur l'aspect opérationnel des études
-
Jusqu'à 10 M € de financement possible ou totale
-
Un aspect extérieur
de type enduit recherché sur le programme
Inscrivez-vous à notre atelier pour trouver le nom
du nouvel espace dédié au public au 5 rue Hannong !
-
Ce lieu regroupe 5 organismes :
-
CAUE d'Alsace,
-
ADIL du Bas-Rhin,
-
Ordre des Architectes Grand Est,
-
Fondation du Patrimoine – délégation Alsace
-
MEA Rhin supérieur.
-
-
Actuellement en travaux, l'espace au rez-de-chaussée évoluera pour devenir un repère en matière d'habitat, de cadre de vie, d'architecture et de patrimoine.
-
Soyez partie prenante de cette aventure en nous aidant à trouver son nom !
-
Les Hannong
-
Trois générations de la famille Hannong ont dirigé et fondé au cours du XVIIIe siècle (entre 1721 et 1784) les manufactures de faïence de Strasbourg et Haguenau en Alsace, et la manufacture de porcelaine de Frankenthal dans le Palatinat.
-
Plusieurs types productions, d'une technicité toujours plus grande, sont distingués : les faïences de grand feu bleues de 1721 à 1730, puis polychromes de 1730 à 1745.
-
L'apparition d'une « technique mixte » de cuisson entre 1735 et 1745 avec de nouveaux décors, fleur des Indes, scènes de chasse, chinoiseries ou sujets bibliques ; puis entre 1745 et 1781, les faïences de petit feu décorées au pourpre de Cassius dans les deux qualités de décorn 1 qui seront enseignées à l'école de peinture de la manufacture.
-
Entre 1765 et 1775 apparaissent des décors au chinois et des pièces de forme décoratives en trompe-l'œil, surtouts de table, flambeaux, statuettes.
-
Les Hannong fabriquent de la porcelaine dure entre 1752 et 1755 puis de 1774 à 1779
Avec ;
-
Anatole Boule, fondateur de l'Atelier Pandore & de Muséomix Alsace
-
Un peu d'histoire
-
Séparer les participants en 2 groupes
-
Chacun met sur un post-it le mot qu'il souhaite proposer pour ce nouveau lieu au rez-de-chaussée
-
Nous pouvons proposer plusieurs post-it
-
Au fur et à mesure, nous enlevons des mots pour en garder 5
-
Les 4 entités qui "habitent" ici choisont un nom parmi les 10 proposés (5 par groupe)
Projet Jacquemin : élévations rue du Foulon (rue Hannong)
La partie réalisée de la façade rue du Foulon (devenue rue Hannong)
est représentée dans la moitié droite des élévations.
Le fabriquant Jacquemin
-
Le fabricant Jacquemin avait l’intention de reconstruire un ensemble de bâtiments en trois tranches.
-
La première, un bâtiment d’exposition figuré en vert, est déjà réalisée au moment des plans (1910).
-
La deuxième, figurée en rouge, fait l’objet du permis de construire de 1910.
-
La troisième, figurée en jaune, est remise jusqu’à l’expiration du bail du 46, rue du Jeu-des-Enfants et l’achat de la maison d’angle (44, rue du Jeu-des-Enfants).
-
-
L’initiative privée Jacquemin contribue aux projets d’urbanisme de la Ville en élargissant la rue du Foulon puisque les nouveaux bâtiments sont construits derrière l’ancien alignement, à l’avant des parties lavées en rouge et en jaune comme le montre le plan. La Ville facilite d’ailleurs l’acquisition des terrains.
-
Dans le cadre du réaménagement et de la piétonnisation de la Rue Hannong :
-
mise en place des fixations de ciel de rue
-
-
Temps d'appropriation par l'association et les habitants :
-
choix des suspensions
-
-
Venez découvrir la COOP à Strasbourg dans une visite commentée par la SPL Deux-Rives, aménageur urbain du quartier. De l’ancienne Cave à Vins de la COOP Alsace en passant par son ancienne Administration et ses nouveaux bâtiments de logements, revisitez ce quartier en pleine mutation.
-
Participation gratuite sur inscription
Avec ;
-
Benjamin Pellegrin, chef de projet communication et médiation SPL Deux-Rives,
-
Simon Boichot, responsable communication SPL Deux-Rives
La Sérigraphie
Les travaux ont débuté en février 2023 et seront terminés en au printemps 2025.
Bâtiment historique de la Coop Alsace, la Sérigraphie se transforme en lofts brut à réhabiliter et accueillera différentes activités.
-
5326 m² de surface de plancher
-
26 lofts bruts entre 45 et 145 m²
-
1 atelier vélo en rez-de-chaussée
-
1 cave vinicole urbaine
La Cave à Vin - "Weinkeller"
C’est en 1964 qu’est construit par la COOP Alsace ce qui est alors considéré comme le chai le plus moderne de France : la Cave à Vins. On acheminait à l’époque du vin par voie ferrée dans ce vaste bâtiment de 12 000 m², répartis sur 5 niveaux.
-
12 000 m² de surface
-
3 150 m² de bureaux (Ateliers 1, 2 et 3)
-
2 250 m² d’espaces polyvalents (Salle hypostyle et petite salle, expositions, événements…)
-
2 300 m² d’espace restauration (Salle d’embouteillage)
-
Un musée et espace de découverte autour du vin de 1 600 m² (Salle des Cuves)
Le Pôle d'étude et de conservation
des Musées de la ville de Strasbourg
Le Pôle d’Étude et de Conservation des Musées de la Ville de Strasbourg, baptisé « L’Union Sociale », est destiné à accueillir une partie des collections des musées ainsi que des espaces dédiés aux traitements, à la gestion et à l’étude scientifique des œuvres.
La "Virgule"
La Virgule doit son nom à la forme particulière qu'elle a vue du ciel, dessinant une virgule parfaite.
Les ateliers de la Virgule rassemblent plusieurs artistes et artisans d’art, indépendants ou rassemblés en collectifs, parmi lesquels Garage Coop, le CRIC ou encore les Ateliers Eclairés.
-
Surface de plancher : 4 600 m²
-
Début de chantier : 1er trimestre 2018
-
Inauguration : septembre 2019
Conférence AMELIA TAVELLA Karlsruhe - Tollhaus 9.10.2024
AMELIA TAVELLA
LE GÉNIE DE LA FÉMINITÉ
DANS L’ARCHITECTURE
Cette architecte trentenaire d’origine corse a un nom de poétesse de la littérature du XIXème siècle. La poésie, elle l’applique dans son art, l’architecture. Sa signature s’exprime dans le travail de la matière ; elle veut que l’on porte un regard sensuel sur ses réalisations où la lumière est également l’un des piliers.
Amélia a ouvert une seconde agence en 2010 sur ses terres natales. Elle est très sensible au développement durable, à l’utilisation d’énergies nouvelles… Dans ses réalisations, elle insiste sur la beauté ressentie au premier regard. Comme cette école corse dans la montagne, où la lumière vient effleurer le granit pour donner une dimension quasi intemporelle à un lieu naturel. Une fois son travail rendu, sa plus grande satisfaction est que les gens s’approprient le lieu naturellement parce qu’il correspond à leur sensibilité, à leur sensorialité…
Avec : DWPA Architectes
-
Venez visiter la nouvelle Médiathèque Frida Kahlo à Schiltigheim et découvrir ses espaces intérieurs et extérieurs chaleureux et colorés. Un nouvel univers est mis en place : des zones silencieuses côtoient des espaces de travail informels, des salles dédiées à la réunion, des zones de détentes et de jeux. L’agencement prend en compte la diversité des pratiques en alternant plateaux libres et lieux de replis plus intimistes.
-
La Médiathèque Frida Kahlo est la quatrième médiathèque de l’Eurométropole de Strasbourg. Il s’agit d’une médiathèque de proximité qui a vocation à rayonner sur l’ensemble des communes du bassin de vie Nord.
-
Ce nouvel établissement intègre les évolutions des pratiques culturelles de ces dernières années :
-
collections réduites,
-
dialogue encouragé,
-
accès aux ressources nécessaires à l’insertion dans la vie de la cité,
-
facilitation des relations entre tous les habitants, présence du numérique et du jeu.
-
-
Les 2500 m² d’espaces intérieurs sont dédiés aux publics, auxquels il faut ajouter une terrasse végétalisée de 450 m², véritable îlot de fraîcheur qui contribue à une identité bien spécifique.
-
Ces espaces se déploient sur 3 niveaux avec une grande salle commune et modulable qui peut fonctionner sans ouvrir toute la médiathèque.
-
Les espaces Cinéma et Jeux Vidéo du rez-de-chaussée sont ouverts sur l’ensemble de la médiathèque et permettent à tous les publics de bénéficier d’un matériel de haute technologie pour la pratique numérique.
-
Un espace de jeu, type ludothèque, est proposé à proximité pour jouer sur place.
-
Côté jeunesse, les enfants peuvent profiter d’un double espace qui regroupe les collections dédiées, d’un auditorium pour la lecture, d’un espace numérique, de fauteuils et de modules intégrés au mobilier et d’une cabane pour les tout-petits.
-
Le projet architectural intègre des objectifs environnementaux dans le choix des matériaux et d’une conception bioclimatique optimisée.
𝐀𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐮 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭
-
MOA : EUROMETROPOLE DE STRASBOURG
-
Architecte : DWPA ARCHITECTES
-
BE acoustique : EURO SOUND PROJECT E.S.P.
-
BE structure bois : INGÉNIERIE BOIS
-
BE environnement et thermique : SOLARES BAUEN
-
Economiste : RB ÉCONOMIE
-
Designer / architecte d’intérieur : FRED RIEFFEL
-
Paysagiste : BRUNO KUBLER
-
Charpentier : ENTREPRISE DE CHARPENTE MOOG
-
Menuisiers :
-
GIAMBERINI&GUY
-
HUNSINGER SAS
-
MENUISERIE JUNG
-
-
Autres acteurs :
-
ES PARQUET
-
THIERRY MULLER
-
Contexte
-
Implantée sur le site de l'anvien Simply (près de l'Eglise Sainte Famille et de l'éco-quartier Adelshoffen à Schiltigheim); la médiathèque Frida Kahlo est la 4ème médiathèque de l'Eurométropole de Strasbourg. Elle concrétise l'achèvement du projet lancé dans les années 2000, visant à renforcer l'offre en lecture publique et à mailler le territoire d'établissements structurants.
-
Elle est à la fois un établissesement de proximitié et de référence pour tout le bassin nNord.
-
Cet établissement intègre les évolutions des pratiques culturelles de ces dernières années : collections réduites, dialogue encouragé, accès aux ressources nécéssaires à l'insertion dans la vie de la cité, facilitation des relations entre tous les habitants, présence du numérique et du jeu.
-
L'enjeu est d'en faire un établissement "citoyen et culturel" en plaçant l'usager au coeur de ses actions.
Les travaux
-
L'aménagement de la médiathèque se situe au sein d'un immeuble mixte construit par l'opérateur Vilogia.
-
L'aménagement intérieur positionne la médiathèque dans son environnement urbain, en tissant des liens avec les aménagements extérieurs et en développant des espaces attractifs.
-
Le projet intègre en outre une découpe au niveau de la dalle de la terrasse du 2ème niveau, pour améliorer l'apport de lumière naturelle et créer un lien fonctionnel direct entre les différents niveaux de la médiathèque.
-
La terrase de 450 m² dispose de cabanes de lecture et de contemplation, des alcôves spécifiques et thématiques ainsi que de la végétation en pleine terre contribuant à créer des ilôts de fraîcheur.
Les +
-
Intégration d'objectifs environnementaux dans le choix des matériaux (issus notamment de la filière bois)
-
Plancher chauffant réversible sur l'ensemble du rez-de-chaussée
-
Terrasse végétalisée contribuant à la régulation hygro-thermique et au bien-être général
-
Eclairage artificiel modulé en fonction des apports d'éclairage naturel
-
Conception bioclimatique optimisée comprenant notamment :
-
des protections solaires automatisées,
-
le recours à la ventilation naturelle en intersaison (free-cooling nocturne)
-
-
Présence de brise-soleil orientables pour gérer l'apport de lumière dans le bâtiment en supprimant le risque de reflet et de surchauffes tout en conservant les vues sur l'extérieur.
Qui était Frida Kahlo,
artiste rebelle et légende mexicaine ?
-
Prisonnière d’un corset pendant presque toute son existence, Frida Kahlo, femme libre et moderne, a créé une oeuvre autobiographique d’une puissance et d’une originalité exceptionnelles.
-
Elle a 18 ans quand elle rencontre Diego Rivera, un colosse de vingt ans son aîné, célèbre pour ses fresques murales racontant l’humanité en marche.
-
Deux vies indissociablement liées par l’amour, l’art, l’engagement, l’attachement à la terre mexicaine
-
Vendredi 4 et Jeudi 31 octobre de 12:00 - 23:00
-
Mercredi à Jeudi : de 12 h à 23 h
-
Vendredi : de 12 h à 0 h
-
Samedi : de 15 h à 0 h
-
Dimanche : de 11 h à 22 h
Avec :
-
Melissa Decaire, artiste photographe,
-
Jean-François Hurth et Hervé Meyer,
-
Living-Factory, concepteurs de projets coopératifs, transformation de bâtiments industriels,
-
-
Jean-Marc Lesage, DRLW architectes ,
-
Serge Lucquet,
-
Lucquet architectes associés | Lucquet - Architekten & Partner,
-
-
Simon Boichot, responsable communication SPL Deux-Rives,
-
Emmanuelle Konstantinidis, danseuse et chorégraphe
Cette exposition conçue par Melissa Decaire avec Living Factory fait état de deux projets d’architectures coopératives en chantier ; « La Coopé » projet de Loft Factory, pensé par DRLW architectes et « La Sérigraphie » porté par Living Factory et confié à Lucquet Architectes associés. Elle met en lumière les forces et les mécaniques qui s’opèrent au cœur du quartier Coop renaissant.
La table ronde
Un livre sur les chantiers navals de Gdansk a inspiré Mélissa
Exposition murale
Vernissage
des oeuvres
Melissa Decaire est née à Varennes au Québec.
-
Auteure, réalisatrice et photographe, elle vit dans le Grand-Est de la France depuis 2005, son travail se distingue par l’attention constante qu’elle porte à la question du paysage, de l'architecture et du patrimoine en tant que valeurs humaines.
-
Elle les transforment en objets de récits documentaires et fictionnels en explorant la diversité du réel.
-
-
Melissa Decaire a été pensionnaire à plusieurs reprises de la résidence artistique du Pays des collines en Belgique, soutenue par le Ministère de la culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour le développement de la série « Consolation ».
-
Entre 2019 et 2021, elle a bénéficié de huit mois d’accompagnement de projet avec FLORE, Adrian Claret, Sylvie Hugues, puis avec Marie Sepchat (M Editions) et Eric Cez (Editions Loco) ; Deux programmes dispensés par l’Oeil de l’Esprit à Paris.
-
Quelques extraits de ce travail ont fait partie d’expositions itinérantes en France, en Allemagne et en Belgique dans le cadre des concours internationaux « Zoom sur votre Patrimoine 2018 », « ArchiFoto /Transitions 2019 » et participe à la publication « 10 ans de photographie » de « La Chambre » en 2021.
-
En 2023, elle présente «Consolation» pendant la 32ème édition des « Itinéraires des photographes voyageurs » à Bordeaux et commence à concevoir des installations à différentes échelles dans le cadre de manifestations culturelles, situées dans le quartier Coop - port du Rhin à Strasbourg.
-
-
Actuellement, elle mène un travail de commande sur la transformation du bâtiment industriel remarquable qu’est « La Sérigraphie » de Strasbourg pour le compte de l’opérateur «Living Factory» tout en développant les projets au long cours « Entre-Deux Rives » et « Archives de Fortune », avec la collaboration de Cathy Blanc-Reibel, Ingénieure d’études en analyses des sources historiques et culturelles, Docteur en urbanisme au LinCS (Laboratoire interdisciplinaire en études culturelles) du CNRS.
Moment convivial
et culinaire
Le chantier s'inscrit dans une opération d’aménagement développée par la SERS entre le canal du Rhône au Rhin et la rue Le Corbusier sur un site de 14 hectares. Les premiers travaux ont débuté en 2015 et devraient s’achever à l’horizon 2025. La construction porte sur un bâtiment de type R+6 sur sous-sol qui doit accueillir une résidence et un Foyer avec une division en volume pour la gestion ultérieure de ces espaces différenciés.
Avec : Yann Halgand, chargé d'opération
L’entrée principale du foyer d’accueil médicalisé (FAM) donne sur un parvis végétalisé ouvert vers le quartier, traduisant sa vocation de « lieu d’échange » et celle de l’Arahm (association régionale d’aide aux handicapés moteur) à s’ouvrir vers la ville
Anne-Laure Better, associée de Richter Architectes, mandataire de l’équipe de maîtrise d’œuvre et Yann Halgand, chargé d’opérations chez Domial.
Écoquartier "Les Prairies du Canal"
Aménagement durable
Trame verte et bleue la nature en ville
Entre le canal du Rhône au Rhin et la rue Le Corbusier, l’écoquartier « Les Prairies du Canal » occupe une position stratégique à mi-chemin entre le Parc d’Innovation et le centre ville.
Le programme d’aménagement conçu par la SERS vise à offrir une cohérence environnementale avec une présence de la nature dans l’architecture. La hauteur est privilégiée pour libérer plus de 80% d’emprise au sol. Ce site de 14 ha et de 1 300 logements à terme offre des qualités paysagères dont la principale est sans nul doute la présence du canal.
Foyer d'Accueil Médicalisé "La Caravelle"
Le projet qui se trouver à Illkirch-Graffenstaden dans l’éco- quartier « les Prairies du Canal », prévoit sur un même site une résidence pour seniors, et le FAM (Foyer d'Accueil Médicalisé)
Le cabinet d’architecture strasbourgeois « RICHTER » a été retenu pour cette opération.
Pour la reprise de la maîtrise d’ouvrage par L’ARAHM, la Caisse de Dépôt et de Consignation (CDC) propose à l’ARAHM un prêt à hauteur de 10 Millions d’euros sur la base d’un prêt PHARE de 37 années avec un taux d’intérêt indexé au livret A proposé à 1.35 % ainsi qu’un prêt PLS, indexé au livret A également, au taux de 1.86 %.
La maîtrise d’ouvrage sera assurée par l’ARAHM. Après de nombreuse réunions, l’avant-projet définitif a été validé au 1er trimestre 2017 et le permis de construire a été déposé en avril 2019 conformément à l’accord de principe établi le 8 juillet 2018 par l’Agence Régionale de Santé Grand-Est.
Un contrat d’assistance à maîtrise d’ouvrage est en cours de signature avec la SERS. Pouvoir a été donné par le Conseil d’Administration de l’ARAHM à deux administrateurs pour représenter l’Association sur ce projet.
Logements de qualité à coûts maîtrisé
L’opération immobilière assure des logements de qualité à coûts maîtrisés (dont 45% de logements sociaux).
La mixité sociale intergénérationnelle et la solidarité sont au coeur du programme.
La réalisation d’un ensemble immobilier mixte incluant un Foyer d’Accueil Médicalisé pour les adultes handicapés en témoignent.
Construction du Foyer d'Accueil Médicalisé LA CARAVELLE, d'une résidence sénior et d'un parking de 200 places
Le bâtiment comme les couloirs sont généreux pour faciliter les déplacements des personnes en fauteuil. Les murs sont blancs, mais les chambres et couloirs s’égaient de grands panneaux colorés. Les trois unités ont chacune leur propre espace de vie avec salle à manger, mais la grande terrasse du deuxième étage sera partagée par tous les résidents du Foyer d'Accueil Médicalisé.
-
32 lits médicalisés
-
42 logements (du 2 au 4 pièces)
-
dont 4 logements étudiants
-
Parking en sous-sol
Cuisine des logements
Salle de bain des logements
Côté résidence Domial : 42 logements sociaux (intermédiaires) du deux au quatre pièces (60 à 80 m2 ), dont quatre colocations étudiantes (des T3 pour deux). Tous les appartements disposent d’une loggia ou d’un balcon et les futurs locataires partageront une grande terrasse
-
Le chantier du groupe scolaire Jean Mentelin à Koenigshoffen a occupé MW Architectes, ses associés feld72 et toute une équipe de maitrise d'œuvre depuis le concours gagné en 2018.
-
C'est une aventure humaine, technique et constructive, un chantier de près de deux ans dont les photographies de Christophe Bourgeois rendent compte, entre géométrie et lumière, entre amoncellements et machines, avec toujours la présence humaine de ceux qui font le bâtiment.
-
Vernissage : Vendredi 11.10 18:00
-
Avec : MW Architectes,
Christophe Bourgeois, photographe
Quelques chiffres
-
376 enfants accueillis à la rentrée 2024
-
142 en maternelle répartis en 7 classes
-
234 en élémentaire répartis en 12 classes
-
Effectif maximal : 440 places
-
-
Prix du chantier : 23,5 M€ TTC
-
dont 15,5 M€ HT de travaux,
-
2,1 M€ HT de prestations intellectuelles,
-
600 000 € HT de mobilier, équipement informatique
-
1,6 M€HT de dépollution)
-
-
Christophe Bourgeois est un photographe français né en 1962.
-
Il a d'abord suivi des études supérieures à l’École d'architecture de Strasbourg, où il s'est très vite fait une réputation de photographe.
-
Il enseigne aujourd'hui la photographie dans cette même École, entre deux voyages dans divers pays comme Madagascar, le Mali, la Chine (où il a séjourné pendant 15 ans), etc.
-
Ce sont les hommes et leur vie quotidienne qui l'intéressent avant tout.
-
Il a été missionné 3 mois avant la fin des travaux pour faire des clichés de ce chantier.
-
La réussite est au rendez-vous. BRAVO !!!
Mettre de l'humanité dans la photo de chantier
Toiture potagère : le jardin sur la tête
-
La nouvelle école aligne de nombreuses originalités.
-
Décomposée en trois bâtiments bardés de mélèze, elle offre depuis les salles de classe une vue magnifique sur le Mühlbach et sa végétation.
-
Un poste d’observation de la faune et de la flore a même été créé dans la cour.
-
-
La nature s’invite aussi dans l’école :
-
« Une toiture potagère accueille aussi un petit bois d’agrément pour apporter sa fraîcheur au bâtiment. »
-
Les élèves planteront légumes et herbes aromatiques qu’ils pourront préparer dans la « cuisine pédagogique ».
-
Les enfants pourront circuler de toit en toit via un cheminement spécifique et sécurisé, « que ce soit pour profiter des potagers ou se rendre dans leur classe ».
-
Le site de l’INSPE a été choisi pour implanter le nouveau groupe scolaire de la Meinau. Des bâtiments désaffectés existants avant les travaux, seules deux constructions édifiées par les Allemands entre 1870 et 1918 ont été conservées. Elles ont été intégrées dans un ensemble neuf en ossature mixte bois/béton. L’environnement paysagé exceptionnel en limite des rives du Rhin Tortu est mis en valeur en offrant de nombreux lieux apaisants.
-
Le site de l’INSPE situé dans la trame verte et bleue de Strasbourg a été choisi pour implanter le nouveau groupe scolaire de la meinau.
-
Les bâtiments existants pour majorité désaffectés ont été démolis, seules deux constructions de l'école de formation des maîtres édifées par les Allemands entre 1870 et 1918 ont été conservées par le projet en tant que témoins du passé et pour leur capacité à accueillir aisément des locaux prévus au programme.
-
Outre le patrimoine bâti, c'est aussi un site au patrimoine environnemental urbain exceptionnel ayant pour limite les rives du Rhin Tortu, un patrimoine à préserver et à valoriser.
Avec : Weber & Keiling Associés
-
Surface : 5 322 m²
-
Maitre d'ouvrage : Ville de Strasbourg
-
Co-traitants MOE :
-
INGEROP - BET TCE; E3 Économie - Économiste de la construction;
-
ES Services Énergétiques -
-
Cuisiniste; Gabriel MILOCHAU - Paysagiste
-
-
Coût : 18 000 000 € TTC
-
Construction d'un groupe scolaire de 22 classes comportant une école maternelle, une école élémentaire ainsi qu'un restaurant scolaire.
-
L'équipement intègre une partie des bâtiments désaffectés existants datant de 1870 afin de valoriser leurs qualités patrimoniales.
-
Du fait de son positionnement dans la trame verte et bleue la construction met un point d'honneur à s'intégrer qualitativement au paysage existant et à mettre en valeur les spécificités environnementales du site.
-
Montage en cours
Sera prêt vers le 20 octobre
Etapes :
-
Délibération : décembre 2018
-
Concours : février 2019 à janvier 2020
-
Etudes : févier 2020 à juin 2021
-
Travaux : en cours
-
Livraison : rentrée scolaire 2025
-
Le projet s'installe dans un environnement complexe et contraint qui détermine sa forme mais également et c'est moins fréquent, son mode de fonctionnement.
-
Les orientations principales du projet permettent de fluidifier l'acès principal et d'exploiter la visibilité depuis la future promenade le long du Rhin Tortu.
-
A noter à l'entrée, un parvis partagé entre l'école et l'INSPEE.
-
3 composantes majeures constituent le programme du groupe scolaire :
-
Une école maternelle avec un accueil périscolaire
-
Une école élémentaire
-
Des locaux partagés, dont un restaurant scolaire et un logement de fonction.
Les + du projet
-
Conception bioclimatique et limitation de la consommation en énergie primaire
-
Construction passive et label E3 - C1 pour les bâtiments d'enseignement
-
Label E3 - C1 pour la restauration scolaire
-
Label BBC Effinergie Rénovation pour les bâtiments existants rénovés
-
Production photovoltaïque
-
Utilisation de matériaux bio-sourcés (façades, murs à ossature bois, toitures, isolants thermiques)
-
Déminéralisation des cours d'écoles
-
Infiltration des eaux de pluie
-
Qualité de l'air intérieur par le choix des matériaux de construction, des produits et des équipements
-
Bâtiments raccordés au chauffage urbain
Venez découvrir le chantier d’extension de l’emblématique stade de la Meinau avec la restructuration des tribunes ouest, nord et est, pour passer de 26 000 à 32 000 places et proposer de nouvelles fonctionnalités. Il s’agit d’un vaste projet de transformation pensé pour être exemplaire en matière de sobriété énergétique avec le recours aux énergies renouvelables et l’utilisation de matériaux de réemploi, notamment de portions de fuselage d’avions pour réaliser des brise-soleils.
Avec ; Rey-de Crécy atelier d’architecture
De tout temps,, le football est une discipline qui fait vibrer le coeur des Alsaciens (et de mon chat Tholy qui reçoit une boîte de thon, chaque fois que notre Racing Club de Strasbourg gagne). Situé dans le quartier strasbourgeois du même nom, le stade de la Meinau est un des plus anciens de France puisqu'on y joue depuis 1906.
L'Eurométropole de Strasbourg a engagé la rénovation de son stade emblématique pour augmenter sa capacité actuelle de 26.000 à environ 32.000 places et le doter de nouvelles fonctionnalités.
L'objectif est de proposer une infrastructure moderne à la hauteur des ambitions du Racing Club de Strasbourg Alsace qui l'occupe et de la ferveur de ses fidèles supporters.
Nous sommes actuellement au 48ème match consécutif à domicile à guichets fermés. Le site pourra alors répondre aux cahiers des charges des fédérations internationales (qui imposent une capacité minimum de 30.000 places).
En rouge l'actuelle tribune SUD
En vert la future tribune SUD
La future fan-zone
avec à droite, la brasserie,
la boutique et le musée du club
Le chantier de la Meinau profite à « 82 entreprises alsaciennes, dont 24 de l’Eurométropole 37 du Bas-Rhin et 11 du Haut-Rhin », Des TPE et PME heureuses de participer à un tel chantier. « C’est pour nous une opportunité de pouvoir accéder à un tel projet », a assuré Marie Fehr, représentante d’une entreprise de fourniture de béton. Nombre de ces entreprises se réjouissent également de contribuer à la rénovation d’une enceinte sportive dont beaucoup de dirigeants et salariés supportent l’équipe. (Article DNA du 23 octobre 2024)
La tribune Ouest du Kop était autrefois en partie basse et haute a été unifiée
et est devenue tribune debout
Les travaux
L'opération permettra d'améliorer l'expérience visiteurs avec la création d'une "fan zone"; la reconfiguration des tribunes avec aménagement de la tribune Ouest en tribune debout dite "active" et l'extension des espaces à prestations de la tribune Sud.
Loges, espaces de réception, boutique, musée du club, brasserie, et sous la tribune ouest un bar d'une longeur de 48 mètres, de nouveaux services seront proposés aux supporters.
La brasserie s'appellera le "90 - 4" en souvenir du coup franc mémorable de Dimitri Lienhard contre le club de Lyon, marqué à la 90 + 4ème minute, lors de notre 1ère saison de retour en 1ère division.
Le site bénficiera également d'une rénovation et d'une mis aux normes techniques (pelouse, équipements).D'une superficie de 52.061 m2, le futur stade répondra à un triple enjeu en alliant performance énergétique, maîtrise financière et insertion urbaine et paysagère dans son quartier d'origine.
Architectes :
POPULUS LTD et REY-DE CRECY atelier d'achitecture
-
Délibération : 27 septembre 2019
-
Etudes de Maîtrise d'Oeuvre : début 2021 à mi 2022
-
Démarrage des travaux : mai 2023
-
Livraison : été 2026
Article DNA du 22 octobre 2024
Un mur de scène blanc de 4 000 m2
Ses 4 000 m2 de murs en béton seront recouverts de 196 morceaux de fuselage d’avion déclassés de six mètres de hauteur sur 2,50 mètres de large (ce qui représente entre 20 et 25 avions). L’ensemble formera un parement insolite à la fois esthétique, pratique et singulier.
Pas une lubie
Ce projet n’est pas une lubie d’architectes. Il répond à une volonté du maître d’ouvrage , l’Eurométropole de Strasbourg et ses partenaires - la Ville de Strasbourg, la Région Grand Est, la Collectivité européenne d’Alsace et le Racing club de Strasbourg – de mener des actions sur ce chantier réalisées en matière d’économie locale et circulaire.
« Nous voulons un projet innovant qui intègre des critères environnementaux », rappelle Pia Imbs, présidente de l’Eurométropole. Celui-ci y répond. À la fois « séduisant » et « unique » pour Pia Imbs et Marc Keller, président du Racing, il « illustre l’innovation, qui est un des marqueurs de ce chantier ».
L’idée de réutiliser des morceaux d’Airbus A340 revient au département recherche et développement de Populous, en charge du « stade du futur », qui planche depuis plusieurs années sur les possibilités de limiter l’impact environnemental de la construction et de réutiliser des matériaux afin d’améliorer la durabilité des projets. Plutôt que de les envoyer à la casse et de les refondre, les fuselages d’avions obsolètes sont découpés, nettoyés repeints et réutilisés. Le projet permet ainsi « d’élever le stade au rang de stade durable, en espérant susciter une discussion sur la façon dont le recyclage et la réutilisation des matériaux peuvent améliorer la durabilité des projets à grande échelle », explique François Clément.
Un élément architectural
-
Outre son aspect environnemental, cette innovation doit permettre d’embellir la Meinau et améliorer le confort des usagers. La proposition de Populous et l’agence Rey-de-Crécy consiste à assembler ces morceaux de fuselage pour former un système d’ombrage solaire ou brise-soleil, afin d’éviter les surchauffes de spectateurs amassés dans cette tribune orientée au sud.
-
Cette façade sera peinte aux couleurs du Racing, avec du bleu à l’intérieur des morceaux de fuselage et du blanc sur la partie extérieure. Cet ensemble formera un « mur de scène » qui s’élèvera au-dessus du parc Extenwoerthfeld, lequel sera visible depuis l’intérieur du stade. Cette façade a vocation à se fondre dans le paysage.
-
« Nous allons détourner ces portions de fuselage de leur fonction pour en faire un élément architectural. Et nous espérons, dans quelques années, que cette façade soit déterminée comme tel » et plus comme un ensemble de morceaux d’avion, spécifie le président de Populous France.
La future Aula
qui desservira la tribune SUD
Les +
-
Construction du futur stade sur l'existant pour limiter son impact environnemental
-
Recours aux énergies renouvelables et installation de 900 m2 de panneaux photovoltaïques
-
Captage des eaux de pluie pour alimenter les sanitaires
-
Raccordement au réseau de chaleur
-
Utilisation de matériaux de réemploi limitant l'empreinte carbone
-
Economie circulaire et surcyclage des portions de fuselage d'A340 pour réaliser les 4.400 m2 de brise-soleil
-
Réductions des consommations électriques par l'implantation de luminaires LED à longue durée de vie
-
Requalification de l'espace urbain avec ouverture sur le quartier et ses habitants et intégration paysagère (végétalisation, aménagement des abords, conservation des arbres remarquables le long du Rhin Tortu, ...)
-
Amélioration de l'accessibilité en faveur des mobilités douces (transports en communs, pistes cyclables, parkings vélos).
-
Édifice majeur de l'urbanisme de la Neustadt Conçu par les architectes Hartel & Neckelmann et construit entre 1888 et 1899, le bâtiment qui abrite le TnS marque la composition architecturale de la Place de la République.
-
Le Conservatoire de musique de Strasbourg y a eu ses quartiers jusqu'au début des années 1990.
-
Cette partie fermée du bâtiment constitue depuis cette date une friche de près de 3 500 m2.
-
Un grand projet de réhabilitation de ces espaces est en cours d'élaboration.
-
C'est cette partie désaffectée du bâtiment que nous vous invitons à découvrir.
-
-
Participation gratuite sur inscription
Les dates-clés
-
1855 : création du Conservatoire
-
1871 : annexion allemande
-
1877 : transfert du Conservatoire à l’Aubette
-
1878 : création du chœur du Conservatoire
-
1918 : 22 novembre : entrée des troupes françaises dans Strasbourg
-
1922 : le Conservatoire s’installe dans l’ancien Palais du Parlement, place de la République
-
1941 : le Conservatoire devient “École d’État“ (“Landesmusikschule”) jusqu’en 1944
-
1966 : mise à disposition de la Villa Greiner
-
1970 : le Conservatoire municipal devient Conser-vatoire national de région
-
1980 : ouverture de l’annexe rue Brûlée
-
1995 : transfert temporaire d’une partie des cours à la Laiterie, ancienne friche industrielle
-
1998 : l’administration quitte la Villa Greiner pour la Laiterie
-
il est décidé de construire un nouveau Conservatoire place de l’Étoile
-
-
2006 : l’institution s’installe dans ses nouveaux locaux.
-
Le Conservatoire a alors 151 ans…
-
Avec ; Bruno Ferrand, directeur technique,
Caroline Strauch, responsable du mécénat et des partenariats
-
Samedi 5 octobre de 14 h à 15 h (je suis à la visite Police fluviale)
-
Samedi 12 octobre de 14 h à 15 h
-
Mardi 8 octobre de 12 h 30 à 13 h 30
-
Jeudi 17 octobre de 12 h 30 à 13 h 30
-
Avec sa façade néo-Renaissance, le bâtiment du Théâtre national de Strasbourg (TNS) fait partie des palais emblématiques de la Neustadt de Strasbourg, la « ville nouvelle » construite entre 1871 et 1918 sous administration allemande, inscrite depuis juillet 2017 sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.
-
Les spectateurs qui continuent d’en franchir le seuil, comme les passants, sont loin d’imaginer que cet édifice cache derrière ses grandes fenêtres un dédale de salles vides ainsi qu’un auditorium à l’abandon.
-
Ces locaux en léthargie ne représentent pas loin de la moitié de la surface du palais, soit 3 500 des quelque 8 000 m² de planchers.
-
Jusqu’à l’été 1995, ils ont accueilli les élèves et les professeurs du Conservatoire de musique et de danse de la ville comme le rappellent encore les lettres mal effacées visibles sur le fronton du palais.
-
Les sols en terrazzo, les moulures et les deux escaliers magistraux rappellent au visiteur que le bâtiment, achevé en 1892 d’après les plans d’August Hartel et de Skjold Neckelmann, a été endommagé par les bombes alliées le 25 septembre 1944 et ne conserve plus qu’une partie des façades et murs d’origine.
-
Avant que le Conservatoire ne s’y installe en 1922, ces derniers avaient d’abord abrité la commission régionale d’Alsace-Lorraine puis le Landtag (Diète), le parlement d’Alsace-Lorraine.
-
Les spectateurs qui continuent d’en franchir le seuil, comme les passants, sont loin d’imaginer que cet édifice cache derrière ses grandes fenêtres un dédale de salles vides ainsi qu’un auditorium à l’abandon.
-
Ces locaux en léthargie ne représentent pas loin de la moitié de la surface du palais, soit 3 500 des quelque 8 000 m² de planchers. Jusqu’à l’été 1995, ils ont accueilli les élèves et les professeurs du Conservatoire de musique et de danse de la ville comme le rappellent encore les lettres mal effacées visibles sur le fronton du palais. Pour ne pas subir les nuisances liées aux travaux de reconstruction qui étaient planifiés dans la partie dévolue au TNS, ceux-ci avaient alors rejoint le site de l’ancienne Laiterie.
-
Voilà donc près de trente ans déjà que ces salles à hauts plafonds, desservies par de vastes couloirs, sont désespérément vacantes.
