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Avec : Much Untertrifaller, architecte, Thierry Rey, architecte, Olivier de Crécy, architecte
Venez découvrir ce projet d’envergure, modernisant l’image du Centre de Congrès conçu en 1974 par la restructuration des deux bâtiments existants (PMC 1 et 2) et la création d’une extension (PMC 3). La conception de ce troisième bâtiment s’appuie sur le plan hexagonal des deux ailes existantes. L’intervention, en retrouvant le dessin géométrique de la trame d’origine, opère un véritable retour aux sources. Un péristyle constitué de colonnes en inox brossé donne son unité à l’ensemble. Le dialogue ainsi instauré avec le parc renforce l’assise du projet dans son contexte.
Participation gratuite sur inscription
Avec : Atelier d’architecture Philippe Prost
La reconversion de la Manufacture des tabacs vise la création d’un écosystème innovant et créatif, regroupant des lieux de formation et de recherche, d’activité économique et d’animation urbaine. Après ouverture des premiers espaces en 2023, la HEAR, Haute École des Arts du Rhin, nouvellement installée à la manufacture, vous ouvre ses portes lors de cette visite.
Participation gratuite sur inscription
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La HEAR va étendre une partie de ses activités au sein de la Manufacture des Tabacs, située à quelques mètres de son site d’arts plastiques de Strasbourg.
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Première rentrée prévue 2023.
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La Manufacture des Tabacs, érigée à partir de 1849 dans le quartier de la Krutenau à Strasbourg et inscrite depuis 2016 aux Monuments historiques, est en cours de reconversion dans un projet urbain d’envergure centré sur les arts, la jeunesse, les sciences et l’expérimentation.
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C’est dans ce cadre qu’elle accueille la Haute école des arts du Rhin à compter de la rentrée 2023.
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Le coût global de requalification des espaces dévolus à la HEAR (soit 4320 m² sur une surface totale de 21 500 m²) représente un investissement de la ville de Strasbourg de quelque 15 millions d’euros.
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L’école profitera de cette reconversion pour repenser à Strasbourg l’organisation des espaces dévolus aux arts plastiques et à la musique.
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Si l’école demeurera toujours sur son site au 1 rue de l’Académie (l’ancien bâtiment historique des « Arts décos »), elle quittera le bâtiment annexe du 2 rue de l’Académie – qui accueille à date les mentions Communication graphique, Didactique visuelle, Illustration, Scénographie et Art/Hors-Format – et qui s’avère inadapté aux nouveaux enjeux pédagogiques.
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Des activités pédagogiques réorganisées – Plus qu’un simple transfert d’activités, l’école souhaite réinterroger les pratiques en cours en vue de dégager un scénario fonctionnel et pertinent au sein de la Manufacture des Tabacs.
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L’objectif est d’organiser de manière plus rationnelle la répartition de ses activités pédagogiques et de bénéficier de locaux plus adaptés. En effet, l’actuelle annexe du bâtiment qui accueille les ateliers Communication graphique, Illustration, Didactique visuelle et les mentions Scénographie et Art/Hors-Format s’avère inadaptée aux enjeux pédagogiques.
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De plus, les étudiants de l’Académie supérieure de Musique–HEAR ont formulé de réels besoins pour des salles de répétition supplémentaires.
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Maîtrise d'ouvrage
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Ville de Strasbourg
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Maîtrise d'œuvre
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Philippe Prost / AAPP, architecte mandataire
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Équipe de maîtrise d'œuvre
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Aurelie Lopez/AAPP cheffe de projet,
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assistée de Florence Vita et Mathieu Iniesta,
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Alto ingenierie,
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BET fluides et themique,
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Labeyrie & Associés, scénographie,
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OTE, BET structure, économie,
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OPC, Meta, acoustique
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Type de mission
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Redéploiement partiel de la HEAR à la Manufacture des tabacs
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Surface : 4 320 m²
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Coût : 6,7 M€ HT
Mort d’une gare de fret, naissance d’une prison
Avec son dernier film «Nemesis», le Zurichois Thomas Imbach documente, à travers un récit personnel et politique, les transformations urbaines et sociales de sa ville.
"Nemesis" (2020) a été réalisé par Thomas Imbach
depuis la fenêtre de son atelier à Zurich
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À Zurich, l’agrandissement du centre-ville touche tout particulièrement les zones industrielles. Suite à l’abrogation de son classement patrimonial et sous l’impulsion de pressions foncières, le site de l’ancienne gare de marchandises d’Aussersihl, du côté ouest de Zurich, proche de Hardbrücke, a entamé sa métamorphose depuis neuf ans déjà. Après des années de débats politiques, il a cédé sa place au nouveau Centre cantonal de police et de justice (CPJ), pouvant accueillir jusqu’à 300 prisonniers, qui sera prochainement inauguré.
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Le film «Nemesis», présenté en première suisse à Visions du Réel 2020, retrace ces événements, bien au-delà de la démolition de la gare, à travers un discours oscillant entre affliction et dénonciation. Déjà lauréat de plusieurs prix, ce long métrage sera à l’affiche du CityClub Pully et des Cinémas du Grütli dès la fin du mois.
Poétique de l’effondrement
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Durant sept ans, entre time lapse et slow motion, le réalisateur indépendant zurichois Thomas Imbach a documenté depuis la fenêtre de son appartement cette démolition à l’aide de sa caméra, sporadiquement.
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«Le film se lit comme une capsule temporelle», déclare le cinéaste.
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Malgré cet angle unique, Imbach construit, par la multiplication des perspectives, une grammaire narrative forte, capturant les scènes quotidiennes autour du chantier, à l’intérieur et l’extérieur des palissades qui en définissent les contours.
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Lorsque le grappin de la grue broie les façades sous ses puissantes mâchoires sur fond de bruitages, c’est le chantier et ses machines qui prennent vie, entre humour et poésie. Quand, chaque matin, dans le parking extérieur, s’étreignent un homme et une femme avant de se rendre au travail, c’est le flux de la vie qui s’écoule.
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La synchronisation son-image n’étant pas possible, vu la distance de la caméra avec le chantier, toute la bande-son a été réalisée a posteriori.
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Dénoncer la politique sécuritaire
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À la période de la friche parcourue par un renard succède celle de la construction du centre de police, dont les ouvriers deviennent les acteurs.
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Ces images de camaraderie et d’effort collectif sont assorties de récits poignants d’immigrés clandestins en détention, en attente d’une décision de justice prononçant leur renvoi.
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La mue de l’ancienne station de fret ouverte sur le monde en un centre de détention clos sur lui-même est l’occasion pour le cinéaste d’entamer une réflexion sur son propre passé, ainsi que sur l’avenir de son pays.
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Ainsi, le cinéaste dresse le portrait d’une Suisse amnésique à son histoire, forgée par les mains des saisonniers italiens dès le 19e siècle, ce centre proposant aux questions migratoires ou d’asile une réponse politique marquée par une préoccupation sécuritaire.
Film de Thomas Imbach, 2020, 132’
La métamorphose de l’ancienne gare des marchandises de Zurich filmée depuis sa fenêtre par le cinéaste, tout au long des sept années que dure le chantier, devient l’objet d’une réflexion personnelle.
Ce journal film. se déploie pendant la construction d’un centre pénitentiaire, avec comme fond sonore les récits de prisonniers en attente d’expulsion de Suisse.
Tarifs en vigueur au cinéma
Film en alllemand - Sous-titré en français
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En amont de la conférence de MacIver-Ek Chevroulet, un public de professionnel·le·s venus de France et d’Allemagne est invité à visiter différents exemples bâtis à Bâle et à échanger ensuite avec des confrères du pays voisin.
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Au programme sont prévus des visites de différents bâtiments d’habitation dans le quartier du Lysbüchel.
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Sur l'ancien site industriel de Lysbüchel, un morceau de ville coloré a vu le jour, marqué par des immeubles de faible hauteur, une diversité architecturale et une mixité.
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Un environnement résidentiel de qualité a été conçu pour des personnes issues de situations familiales, de couches sociales, de catégories de revenus et d'âges différents.
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Raphaël Schicker, chef de projet de la Fondation Habitat, et Marko Merz guideront le groupe à travers le quartier. A la suite des visites, le groupe pourra assister à la conférence du soir et reprendre ensuite la route vers leur ville d’origine.
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Le duo d’architectes suisses composé d’Anna MacIver-Ek et d’Axel Chevroulet exercent entre Zurich, Neuchâtel et Lausanne.
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Dans leur pratique, ils recherchent et investissent les champs de la construction, du réemploi et de la durabilité radicale, tout en remettant en question les dynamiques de travail conventionnelles.
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Dans leur recherche de formes alternatives de pratique, ils ont cofondé le collectif la-clique qui explore les gouvernances horizontales et l'utilisation de l'intelligence de groupe.
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En 2021, MacIver-Ek Chevroulet a reçu le Swiss Art Award for Architecture pour leur projet Deliberate Leak.
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Depuis 2023, ils sont professeurs à la Berner Fachhochsschule, et depuis 2024, professeurs intérimaires à la TU München.
Le chantier de restructuration de La Laiterie, salle emblématique de Strasbourg vient juste de démarrer. Venez découvrir les coulisses de ce projet qui améliorera considérablement les conditions d’accueil du public et de travail des artistes.
Participation gratuite sur inscription
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Inaugurée en 1994, la salle de spectacle la Laiterie est un des premiers lieux de musiques actuelles créés en France, et fait depuis référence dans le milieu musical en Europe.
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Afin que le lieu puisse continuer de promouvoir les musiques actuelles en poursuivant sa programmation ambitieuse et qualitative, une important opération de rénovation et de restructuration du bâtiment est entreprise permettant notamment l’augmentation de la jauge de la Grande Salle.
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Les travaux amélioreront également de manière considérable les conditions d’accueil du public et des artistes, tout en intégrant au bâtiment une dimension écologique qui répond aux défis de notre temps.
Avec : Weber & Keiling Associes
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À l’issue d’un marché public de maîtrise d’œuvre, la conception du projet et le suivi de la réalisation des travaux ont été confiés à l’agence d’architecture Weber Keiling associés. Les études ont démarré en juin 2023.
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Les travaux seront engagés dès le 1er juillet 2024 avec un objectif de livraison du bâtiment fin décembre 2025.
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L’exploitation de l’équipement pourra redémarrer au premier trimestre 2026.
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Le chantier va dès son démarrage être marqué par des interventions extérieures impressionnantes au niveau de la toiture puisque cette dernière va être rehaussée.
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Le montant des travaux s’élève à 5,9 M € HT pour un montant total d’opération de 9,5 M € TTC.
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Après la restauration des statues historiques et la construction à l’identique d’une nouvelle serre horticole, une extension accueillant une salle de conférences au rez-de-chaussée a été construite dans le parc du Lieu d’Europe et la maison du gardien a été transformée afin de pouvoir être aménagée en café et lieu de petite restauration.
Participation gratuite sur inscription
Avec : Rey-de Crécy atelier d’architecture
Much Untertrifaller a étudié l’architecture à l’Université technique de Vienne avec Ernst Hiesmayr. Depuis 1982, il a travaillé avec son père, l’architecte Much Untertrifaller senior, et en 1992, il a mis en place un signe de changement dans la construction alpine avec la Silvrettahaus sur le Bielerhöhe à Partenen. La coopération fructueuse avec Helmut Dietrich a commencé au milieu des années 80. En 1994, après avoir remporté le concours pour le Festspielhaus Bregenz, Much Untertrifaller et Helmut Dietrich ont fondé un bureau commun à Bregenz. Après le concours réussi pour l’extension de la Wiener Stadthalle, un autre site a suivi à Vienne en 2004. Suite au contrat de construction du nouveau complexe sportif universitaire de l’ETH Zurich, ils ont ouvert en 2005 une succursale à Saint-Gall, où les projets sont gérés conjointement avec Christof Stäheli.
Le bureau de Paris a ouvert ses portes en 2015, suivi de Munich en 2016. Much Untertrifaller est inscrit comme architecte indépendant dans les Chambres des architectes du Bade-Wurtemberg (depuis 1998), de Bavière (depuis 2016) et du département de l’Île de France (depuis 2015) et comme ingénieur civil dans la Chambre de Vienne, de la Basse-Autriche et du Burgenland (depuis 2014). Il donne régulièrement des conférences lors d’événements internationaux et depuis 2016 il enseigne comme professeur honoraire à l’université de la Technique, de l’Économie et des arts appliqués de Constance (HTWG Konstanz). Il est notamment président de la ZV (Association centrale des architectes) du Vorarlberg et membre des conseils consultatifs de Graz, Kassel, Landshut et Bezau.
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Much Untertrifaller, architecte et enseignant, est co-fondateur de l’agence Dietrich | Untertrifaller, qui compte environ 130 collaborateur·rice·s dans 7 bureaux à Bregenz et Vienne (AUT), Saint-Gall (CH), Munich et Francfort (ALL), Paris et Strasbourg (FRA).
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L’agence trouve ses racines dans le Vorarlberg, petite région alpine connue pour son architecture en bois contemporaine et la qualité de ses constructions écologiques. La construction durable, l’importance de conserver la substance bâtie existante en la réinterprétant pour l’adapter aux nouveaux usages, l’approche low-tech avec le recours à des filières locales, s’inscrivent au cœur de leur travail.
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Much Untertrifaller enseigne à l’École Supérieure HTWG à Constance en Allemagne et s’engage dans de nombreuses associations d’architectes et commissions d’architecture et d’urbanisme. Il donne régulièrement des conférences partout dans le monde et participe à des jurys internationaux, souvent en tant que président.
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Participation gratuite sur inscription
Palais de la Musique et des Congrès Strasbourg
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Le Palais de la Musique et des Congrès de Strasbourg a été conçu par le cabinet d'architectes autrichien Dietrich | Untertrifaller et le cabinet français Rey-Lucquet & Associés. Il combine les deux salles de musique existantes des années 1970 et 1980 avec de nouveaux bâtiments pour créer un ensemble harmonieux doté d'une identité architecturale distincte.
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L'extension et la rénovation générale du centre de congrès comprennent la construction :
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d'une salle multifonctionnelle de 3 000 m²,
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d'une salle de conférence pour 450 personnes
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d'un auditorium de 520 places,
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l'agrandissement et la transformation de deux salles de concert existantes, ainsi qu'une nouvelle salle de répétition pour l'orchestre philharmonique de Strasbourg.
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En décembre 2016, le projet récemment achevé a été nominé pour le Prix européen d'architecture contemporaine - Mies van der Rohe Award 2017.
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Pour leur conception, Dietrich | Untertrifaller et Rey-Lucquet ont décidé de développer et d'étendre le motif central existant des triangles équilatéraux. Ils ont également créé une silhouette entièrement nouvelle avec les nouveaux bâtiments et les arcades en acier inoxydable.
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Les architectes ont intégré autant de fonctions utiles que possible dans les bâtiments existants et ont poursuivi l'utilisation de l'hexagone typique dans les nouveaux bâtiments.
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Un foyer central avec des espaces aériens, des galeries et des ponts unit et relie les espaces de concert, de conférence et d'exposition.
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Cette conception spatiale claire et ouverte simplifie et structure les processus fonctionnels du complexe et permet aux visiteurs de mieux s'orienter.
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Le concept architectural est également visible sur la façade : une arcade de près d'un kilomètre de long entoure l'ensemble du complexe et lui confère un profil distinct.
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Les colonnes d'acier de quinze mètres de haut et de six tonnes, recouvertes de tôles d'acier inoxydable pliées en angle, forment une enveloppe extérieure attrayante et dynamique avec leurs rythmes de torsion.
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La capacité de l'Auditorium Schweitzer a été portée de 900 à 1 200 visiteurs et celle de l'Auditorium Erasme, qui compte 1 900 places, a été optimisée pour accueillir des concerts et des conférences.
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Juste à l'ouest de ces deux bâtiments se trouve la nouvelle salle multifonctionnelle hexagonale qui s'intègre aux structures existantes et forme avec les anciens bâtiments la nouvelle entrée principale et le nouveau parvis.Le Palais de la Musique et des Congrès comprend désormais une immense salle polyvalente, trois auditoriums, deux salles de conférence, quinze salles de conférence, des foyers, des escaliers, des bars, un restaurant, des espaces de bureaux et un parking.
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Avec une surface brute de 44 500 m², le Palais de la Musique et des Congrès est un élément important du projet de développement urbain du Wacken-Europe. Le quartier situé au nord du centre-ville, à proximité du Parlement européen, reçoit un nouveau repère architectural et se positionne comme une destination internationale attrayante pour les affaires et les services.
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En juin 2011, Dietrich | Untertrifaller Architekten et le cabinet d'architectes français Rey-Lucquet & Associés ont remporté le concours international organisé par la ville de Strasbourg à l'unanimité du jury.
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Les travaux de construction ont commencé fin 2012 et se sont poursuivis sans interruption jusqu'à leur achèvement à l'été 2016.
